Et si l'enfance, pour une fois, nous montrait le chemin. Et si nous inventions des cages qui ne serviraient à enfermer personne d'autre que l'air, avec des oiseaux libres qui voleraient autour. Et si les couleurs s'affranchissaient de nos pinceaux et se mettaient à peindre le vide. Et se le rêve s'invitait plus souvent dans nos cerveaux embrumés. Comme nous aimerions ces temps de pause dans notre vie trépidante, loin de tous les discours, les programmes et autres recommandations. Mais il faudrait, comme eux, les enfants, savoir mettre le monde dans une boîte de camembert et savoir entendre le chant du merle en soulevant le couvercle.
Et si l'enfance, pour une fois, nous montrait le chemin. Et si nous inventions des cages qui ne serviraient à enfermer personne d'autre que l'air, avec des oiseaux libres qui voleraient autour. Et si les couleurs s'affranchissaient de nos pinceaux et se mettaient à peindre le vide. Et se le rêve s'invitait plus souvent dans nos cerveaux embrumés. Comme nous aimerions ces temps de pause dans notre vie trépidante, loin de tous les discours, les programmes et autres recommandations.
RépondreSupprimerMais il faudrait, comme eux, les enfants, savoir mettre le monde dans une boîte de camembert et savoir entendre le chant du merle en soulevant le couvercle.
Bel été à tous...
Roger